Ce qui fait la renommée de Marseille 20 choses à savoir avant d’aller à Marseille.
De la chasse à la pizza à la commande de pastis, un guide intelligent pour découvrir la deuxième plus grande ville de France et ce qui fait la renommée de Marseille. Il y a tout un tas de produits, locaux qui ont fait la réputation de Marseille, et que vous serez heureux de ramener de Marseille comme cadeaux ou souvenirs.
Qu’est-ce qui fait la renommée de Marseille dans le monde entier et pour quoi est-elle connue et réputée ?
Depuis sa fondation en 600 av. J.-C. – quand, selon la légende, un marin phocéen épousa une gauloise locale, dont le père lui offrit Marseille comme cadeau de mariage – le port de la ville a façonné sa population. Marins corse au XVIe siècle, constructeurs italiens à partir du milieu du XVIIIe siècle, Arméniens fuyant le génocide à partir de 1915, Algériens arrivés après l’indépendance de 1962, et bien d’autres encore, se sont installés ici. Tous ont fait la renommée de Marseille.
Marseille allie la vanité des grandes villes et la sociabilité des villages de pêcheurs. C’est une ville que la population locale aime, ou aime détester, et que les étrangers évitent souvent en raison de sa réputation de crime. Mais ces dernières années, la deuxième plus grande ville de France (par sa population) a attiré les Parisiens à la recherche de plus de soleil et de moins d’agitation et les voyageurs à la recherche du sud de la France au-delà de la brillante Côte d’Azur.
Oui, la gentrification est arrivée ici aussi, mais heureusement elle n’a pas effacé l’esprit qui rend cette ville portuaire si intrigante. Marseille n’est pas faite de curiosités monumentales, mais de choses simples : terrasses extérieures, art de la rue, apéro de fortune dans l’un de ses nombreux petits ports avec les pieds dans l’eau.
Une fois arrivé, montez l’escalier d’honneur de la gare Saint-Charles, flanqué de statues qui racontent l’histoire de la migration marseillaise. Vous comprendrez pourquoi le directeur local Robert Guédiguian a dit un jour :
« Marseille, ce n’est pas la France. Marseille n’est pas la Provence. Marseille est le monde. »
Robert Guédiguian
1. La météo de Marseille
Vérifiez le temps qu’il fait. Ici, le symbole du vent sur votre application météo est plus qu’un jeu d’enfant. C’est une mise en garde contre le légendaire mistral qui souffle en rafales violentes du nord et qui a fait la renommée de Marseille. Avec des vitesses allant jusqu’à 120 km/h, il refroidit jusqu’aux os en hiver et soulève la poussière en été.
Le côté positif, c’est que le mistral est l’aspirateur de Dame Nature – un ciel clair et cristallin apparaît dans son sillage. Malgré le vent, Marseille a touché le gros lot – 300 jours de soleil par an et des hivers tempérés qui planent dans les années 50 et 60. Il neige rarement, bien que des averses de pluie surviennent en novembre et en février-mars.
À moins que vous n’insistiez pour ne prendre que le soleil, vous pouvez profiter de la ville toute l’année. N’oubliez pas que certains restaurants et magasins ferment leurs portes pendant les vacances d’hiver – ou en janvier s’ils sont restés ouverts – et en août, lorsque les gens du pays échappent à la sueur de leur front, à des jours à plus de 32 degrés dans les montagnes.
2. Vieux Port
Aventurez-vous au-delà du Vieux Port. Bien qu’elle soit la deuxième ville la plus peuplée de France, Marseille s’étend sur deux fois la superficie de Paris – 241 km² carrés contre 106 km² à Paris. Cet étalement urbain est divisé en quartiers, chacun avec sa propre personnalité, qui donnent à la ville de 860 000 habitants l’impression que les 111 villages locaux la décrivent ainsi. Alors ne restez pas coincé dans le centre-ville du Vieux Port.
Passez du temps dans l’enclave bobo ( » bourgeois bohème « ) de Vauban, le calme hausmannien de Longchamp, la Chave montante, et la vibrante scène du bar du Cours Julien. Prenez vos repères au Vieux Port, puis commencez à explorer.
3. Ses rues sinueuses
Prévoyez de bonnes chaussures de marche. Vous aurez besoin d’elles pour naviguer sur les trottoirs bancals, les collines éparses et les escaliers qui brûlent les cuisses partout dans la ville. La meilleure façon de découvrir Marseille est de flâner en flâneur dans ses rues sinueuses, d’observer les gens et d’être bombardé par le bourdonnement incessant des scooters.
4. Les transports de Marseille
Choisissez votre moyen de transport. Il y a un système de transport en commun décent : Un vaste réseau de bus, ainsi que des lignes de métro et de tramway qui font le tour du centre-ville et circulent jusqu’à minuit et demi. N’oubliez pas que les bus sont généralement en retard ce qui fait partie de la renommée de Marseille. Vous pouvez obtenir des mises à jour en temps réel sur l’application RTM – et qu’ils ne se risquent pas loin dans les 12-16e arrondissements périphériques.
Pour vous rendre à la plage, prenez l’autobus 83, essayez le système de vélo en libre-service leVélo, testez les nouvelles trottinettes Lime (scooters électriques), ou le jeu de roues local préféré, un scooter. Si vous avez besoin d’un taxi, optez pour Uber ou le Heetch français plutôt que pour les taxis, qui sont souvent plus chers et demandent de l’argent comptant, car leurs distributeurs de cartes de crédit sont souvent cassés. C’est leur réputation.
5. La bonne Mère et la renommée de Marseille
Remerciez la Bonne Mère. Monument le plus visité et point culminant de Marseille, la basilique romaine byzantine Notre-Dame de la Garde est surmontée d’une balise de 12 mètres de haut visible de toute la ville : une statue de la Vierge à l’Enfant en or.
Elle est connue sous le nom de « la Bonne Mère » pour son rôle non officiel de gardienne de la ville. Les gens du coin lui apportent des offrandes, ex-voto, pour la remercier de sa protection. La Bonne Mère offre des vues à 360 degrés, alors visitez tôt dans votre voyage pour vous faire une idée du terrain, mais essayez d’éviter la houle touristique du week-end.
6. Le PASTIS a fait la renommée de Marseille
Commandez un pastis de la bonne façon. La première règle lors de la commande d’un pastis : toujours le demander par son nom. Ne demander qu’un Pastaga (l’argot local pour pastis), c’est comme grogner de la « bière » pour le barman. Les deux marques les plus courantes de l’esprit anisé bien-aimé sont Ricard, du nom de la première entreprise marseillaise de pastis (1932) et la marque un peu plus anisée 51.
C’est un peu confus, car 51 est la même marque que Ricard, puisqu’ils ont fusionné avec Pernod, le créateur du 51, en 1975. Votre bar peut aussi verser de la Casa (alias Casanis) ou du Cristal Limañana distillé localement. Votre petit jaune arrivera avec un pichet d’eau froide et parfois de glace. Ajouter de l’eau jusqu’à ce que le liquide doré foncé devienne jaune pâle nuageux ; le dosage habituel est de cinq parties d’eau pour une partie de pastis. Pastis a environ 45 %, donc faites attention de ne pas boire trop vite. N’hésitez pas, cependant, à vous offrir un deuxième verre.
7. Pizza
Chercher une pizza. Le vrai plat marseillais n’est pas pêché, mais cuit au bois. La ville n’est pourtant pas renommée pour ses Pizza. La pizza fait partie intégrante de l’alimentation locale depuis l’arrivée des immigrants napolitains à la ville au tournant du XXe siècle, et la ville a été le site du premier camion à pizza français (vers 1962). Dans cette ville maritime, la pizza classique est accompagnée d’anchois.
Ou demandez un moit-moit : moitié anchois, moitié fromage – généralement de l’Emmental – ou un boeuf haché et de l’oignon arménienne, un signe de l’importante communauté arménienne de la ville. Commandez le vôtre chez Chez Sauveur, un classique renommé depuis 65 ans, ou chez La Bonne Mère, célèbre pour sa croûte, qu’on laisse lever pendant 48 heures. Pour la nourriture de rue, laissez le populaire Charly Pizza vous couper une partie (tranche) ou frapper l’un des camions de nourriture autour du stade ou à l’extérieur des stations de métro.
8. Marseille est réputée dans le monde entier pour sa Bouillabaisse
Passez à la bouillabaisse. La fameuse soupe de poisson de Marseille a sauté sur le requin. Un marketing agressif a fait grimper son coût à 60-100 euros. L’étiquette de prix élevé contredit ses racines en tant qu’humble ragoût de restes de poisson et va à l’encontre de l’ethos populaire (de la classe ouvrière) de la ville.
Les gens du pays mangent ou cuisinent rarement la bouillabaisse – la version traditionnelle prend plus d’une journée à préparer – pour les occasions spéciales. Ce qu’ils mangent de la mer, ce sont des sardines grillées et piquantes, des oursins roux crus et des huîtres saumâtres, et les nombreuses espèces de calamars servis à la provençale sautés à l’ail, au persil et à de généreux verres d’huile d’olive.
Les prises les plus fraîches se trouvent à La Boîte à Sardine, qui s’approvisionne chaque matin auprès de petits pêcheurs. Et si vous insistez pour commander la bouillabaisse, je vous suggère de le faire chez Michel, qui utilise du poisson frais (présenté à l’avance) et où il coûte en moyenne 75 euros.
9. Le quartier Noailles
Dîner à Noailles. Le leblebi tunisien chez Yassine, le pita libanais au Cèdre, les sacs d’épices en toile de jute à Saladin, et le bradj algérien farci de dattes au stand de rue en face de Saladin. Les poulets rôtis et la paella fumante parfument les rues, notamment la rue d’Aubagne et la rue du Longue des Capucins. Prévoyez des provisions pour un pique-nique ou pour manger pendant que vous vous promenez dans la foule.
10. Faire son marché
Faites vos courses comme en 1827. La plus ancienne quincaillerie de France, la Maison Empereur, possède deux siècles de biens patrimoniaux qui débordent de ses rayons.
Pensez aux couteaux Opinel, aux vestes de coton bleu Laboureur et aux boules de pétanque La Boule Bleu. La caverne d’Ali Baba se remplit de clients depuis que Laurence Renaux, propriétaire de la 7e génération, s’est agrandie pour atteindre le chiffre impressionnant de 50.000 pièces. Mais vous verrez encore des charpentiers vêtus de vêtements de travail ramasser les charnières de porte dans la quincaillerie-hardware store. Poursuivez votre magasinage au Père Blaize, l’herboriste qui soigne les marseillais avec des thés et des teintures depuis 1815, au coin de la rue.
11. Fort Saint Jean
Promenade au fort Saint-Jean…. A première vue, cette forteresse du XVIIe siècle semble protéger Marseille, flanquant le bord du Vieux Port aux côtés du fort Saint-Nicolas. Regardez de plus près.
Les chanoines montrent la ville du doigt, non pas de l’extérieur, pour que Louis XIV puisse protéger son régime des soulèvements locaux – une des nombreuses entailles de l’histoire de Marseille (voir : Résistance à la Seconde Guerre mondiale) qui incarne l’esprit rebelle de la ville. Le fort était autrefois le dernier arrêt des recrues de la Légion étrangère française en route vers l’entraînement de base en Algérie.
Aujourd’hui, le fort Saint-Jean invite les visiteurs à se promener dans ses allées voûtées, à escalader une tour tourelle géante et à flâner dans le Jardin des Migrations. Dans ce jardin allégorique de 9 300 m², chaque plante représente l’histoire agricole, industrielle et religieuse de Marseille, tout comme les plantes de chanvre de cannabis Sativa utilisées pour la fabrication des cordes nautiques, d’où le nom de la Canebière, rue principale de la ville.
12. Architecture
…puis s’appuyer sur l’architecture arabe. Comparé aux anciens murs de pierre du fort, le cube de béton, le Mucem (Musée des civilisations européennes et méditerranéennes) semble futuriste. Pourtant, l’architecte d’origine algérienne et provençale Rudy Ricciotti a été fortement influencé par le design arabe ancien. Les allées en terrasses rappellent une ziggourat mésopotamienne.
Le treillis extérieur évoque un mashrabiya, son motif ornemental servant à la fois d’écran et de filtre pour laisser entrer la lumière. Pour la meilleure vue, approchez Mucem à partir de la passerelle piétonnière maigre du Fort Saint-Jean. Vous arriverez à la terrasse sur le toit qui dispose de chaises longues pour une courte pause. Horaire de votre visite dans l’après-midi ou à l’heure dorée, quand la lumière du soleil est à son plus éblouissant. Note : la visite de l’extérieur de Mucem est gratuite – l’entrée est payante pour les expositions.
13. Les plages
Allez à la plage. Les plages le long de la côte marseillaise sont très variées, des criques rocheuses aux étendues sablonneuses. Juste en dessous de l’hôtel chic Petit Nice, les rochers plats de l’Anse de la Fausse Monnaie sont parfaits pour faire la crêpe et regarder la catapulte des plongeurs de la Corniche Kennedy. Juste au nord, trouvez la crique courbe de l’Anse de Maldormé, une plage de galets parfaite pour une baignade rapide.
À seulement 15 minutes à pied du Vieux Port, la Plage des Catalans est la plus proche de la ville, ce qui signifie que vous serez entassés comme des sardines sur la plage de sable. Préparez un pique-nique avec du rosé, des frites, des olives et de la charcuterie pour admirer les couchers de soleil méditerranéens. Évitez de vous baigner le lendemain de fortes pluies, lorsque les égouts débordants déversent la pollution dans la mer.
14. Les Hammam
Va te laver les mains. Visite d’un hammam salle de bain traditionnel qui est à la fois apaisant et social. J’aime le Hammam Rafik et le Hammam Djerba à Noailles. Les néophytes doivent réserver un gommage exfoliant. C’est une affaire de force – pensez au papier de verre qui lisse le bois brut – mais comme le dit mon épurateur, » maintenir sa beauté peut faire mal « . Vous pouvez aussi le faire vous-même, en allant chercher du savon noir huileux et un gant de toilette à Jiji de Palme d’Or. Notez que les heures d’ouverture des hammams sont séparées pour les hommes et les femmes, les dames y allant souvent pendant la journée.
15. L’apéro moment incontournable à Marseille
Profitez d’une heure(s) d’apéro. L’apéro fait partie intégrante de la vie quotidienne marseillaise. Comme l’happy hour, l’apéro a lieu après le travail ou avant le coucher du soleil, mais il se répand souvent dans la nuit. Il contribue à la renommée de Marseille.
A siroter, il y a bien sûr du rosé. Il est, étonnamment, tout à fait acceptable d’ajouter un glaçon ou deux pour refroidir ou diluer une bouteille de vin. Il y a toujours de la nourriture – vous êtes en France, après tout – qu’il s’agisse d’une simple assiette d’olives ou d’une tartinade complète de panisses (beignets de pois chiches locaux), de charcuterie et de crostinis à la tapenade.
Perchez-vous au bord de la mer au Bistro Plage, admirez le coucher de soleil au Café de l’Abbaye, dégustez des snacks gratuits à La Caravelle, ou apportez votre propre apéro au Vallon des Auffes pour une version pieds dans l’eau. L’Apéro n’est pas seulement pour l’été : Les terrasses des cafés de Marseille sont également pleines à craquer en hiver.
L’OM
Un bon point pour l’équipe locale. A Marseille, « OM » n’est pas un bourdonnement méditatif mais un cri endiablé, crié pendant les jeux et tagué sur les murs de la ville. Marseille est aussi pour connu pour son club de foot. L’OM, c’est l’Olympique de Marseille, le club de football que l’on vénère ici.
Même le président Emmanuel Macron est un fan. Célébrez l’OM aux côtés de 66 000 fans dans le vaisseau spatial Vélodrome Orange d’août à mai. Essayez de trouver une place derrière les buts et en plus des ultras, les clubs de supporters fanatiques, qui ne sautent pas n’est pas n’est pas marseillais et contre les joueurs (mouille le maillot ou casse-toi ), qui passent tout le match debout sur leur siège à chanter. Vous ne pouvez pas vous rendre à un match ? Entrez dans les fan-bars Le Fair Play ou Bar de la Plaine. Marquez des points supplémentaires avec les locaux pour avoir porté du bleu ciel.
17. RoofTops
Dirigez-vous vers les toits. Les fêtes sur les toits sont importantes ici. Trouvez le plus grand à la terrasse panoramique de 8000 carrés de la Friche Belle de Mai. Cette ancienne usine de tabac dispose d’un cinéma en plein air et de soirées dansantes animées par des DJ. Si vous êtes d’humeur plus discrète, le bar de l’Hôtel Hermes offre une vue sur le Vieux Port dans un cadre plus intime. Le jeudi est la soirée la plus populaire pour les fêtes, mais les couchers de soleil tardifs de l’été (22 h) font de chaque soirée d’été un bon moment pour faire la fête.
18. Quartiers Nord
Explorez les Quartiers Nord. Le Quartiers Nord est l’endroit où la plupart des gens vous diront de ne pas y aller à cause de sa réputation de crime, mais ne laissez pas cela vous dissuader de vous aventurer dans les quartiers nord de Marseille.
Soyez conscient de votre environnement comme vous le feriez dans n’importe quelle autre ville. Avec plus d’un tiers de la population de la ville et une riche histoire industrielle et agricole – qui abrite la merveille de l’ingénierie du XIXe siècle, le canal de Marseille – les quartiers nord méritent d’être explorés.
Naviguer dans les Quartiers Nord peut être difficile, car ils sont si vastes et mal desservis par les transports en commun. Votre meilleure option est de contacter l’Hôtel du Nord ou Marseille Provence Greeters, coopératives de guides locaux désireux de partager leurs connaissances.
Ou, visitez le fabricant de savon, Serail, lors d’une de leurs visites d’usine le vendredi après-midi. Le centre des arts de la rue Cité des Arts de la Rue a un marché fermier et organise des visites aux cascades de la Cascade d’Aygalades le premier dimanche de chaque mois.
19. Les Calanques sont connues partout dans le monde
Visitez ou escaladez les Calanques. Version méridionale des fjords norvégiens, les Calanques sont des falaises calcaires vertigineuses qui se déversent dans la mer. La majeure partie de ce parc national nouvellement créé n’est accessible que par bateau ou à pied, et de nombreuses randonnées sont fermées en juillet-septembre pendant la saison des feux de forêt.
Choisissez votre propre aventure dans les Calanques : préparez un pique-nique et prenez le bus 21 en direction de Luminy pour une randonnée de 45 minutes jusqu’à la Calanque de Sugiton ; réservez un skipper local pour vous emmener dans leurs criques turquoises préférées avec l’AirBnb des bateaux, Click & Boat ; ou faites une promenade d’une heure au restaurant familial convivial Chez les Belges, mais attention, ce cabanon traditionnel ( » cabine « ) ne dispose d’électricité, alors apportez votre cash. Ou alors mon préféré le Château dans la calanque de Sormiou et sa fameuse Zarzuella.
20. Le savon de Marseille a fait sa réputation
Le savon de Marseille est connu dans le monde entier. Le savon de Marseille est un savon dur traditionnel à base d’huiles végétales, produit autour de Marseille, en France, depuis environ 600 ans.
Traditionnellement, le savon est fabriqué en mélangeant de l’eau de mer de la mer Méditerranée, de l’huile d’olive et des cendres alcalines de plantes marines dans un grand chaudron. C’est un produit naturel et écologique.
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21. L’heure marseillaise
Prenez votre temps. À Marseille, le quart d’heure marseillais a fait la renommée de Marseille. Il signifie que « être à l’heure » a 15 à 30 minutes de retard. Des grèves et des retards dans les transports publics peuvent survenir. Profitez d’un rythme tranquille. N’oubliez pas non plus que de nombreux magasins et restaurants sont fermés le dimanche.